Cette semaine, c'est un emblématique joueur d'Endoume qui nous offre sa sélection de Fadas sur Gfoot13. Daniel Barbarisi nous a concocté sont onze de fadas "made in Endoume". De vrais fadas, mais avant tout de vrais bons joueurs.
Gardien de but
Bernard Gregory : A l'entrainement, on le bombardait à bout portant, il en redemandait, un fou. De toute façon, à ce poste ils le sont tous.
Latéraux
Robert Pey : Lui quand il manquait le ballon, il ne manquait pas la jambe (rires). C'était son truc.
Vincent Bruno : Je vous jure que lui, je l'ai vu faire un tacle à la tête.
Défenseurs centraux
Marc Adamis : il faisait 1m90 pour 120 kg. J'ai vu des attaquants, quand ils le voyaient arriver, laisser le ballon et partir. Je ne plaisante pas.
Jacques Larosa : Il était dur comme la pierre. Il mettait la tête là où tu ne mets pas le pied. Un vrai stoppeur à l'ancienne.
Milieux
Didier Camizuli : Les joueurs ont des stats, passes décisives, buts… lui ses stats, c'est trois jambes cassées. Il a pas fait exprès mais comme c'était un petit teigneux.
Christian Abdelkader : Lui à la mi-temps, je l'ai vu fumer une cigarette et boire un pastis. Mais sur le terrain, quel joueur. Il aurait pu jouer en Ligue 2 les doigts dans le nez.
Thierry Falzon : Il est arrivé chez nous tout jeune, j'étais son capitaine. Je l'ai tellement engueulé qu'il a fini professionnel. Donc j'ai bien fait.
Attaquants
Jacques Romani : Les plus gros mollets de France. Il fallait qu'il se fasse faire les jeans sur mesure.
Patrick Bruno : on l'appelait "kéké". Quand il marquait, on aurait dit un homme de Cro-Magnon, il avait les yeux qui sortaient de la tête. On ne comprenait pas ce qu'il disait.
Daniel Barbarisi : Je dois être le seul joueur qui aime perdre 5-4 et marquer quatre buts plutôt que gagner 1-0 et ne pas avoir marquer.
Staff
Léon Galli : un phénomène comme joueur et comme entraineur je n'en parle même pas.
Paul Visciano : un super dirigeant.
Francis Di Giovanni : mon président emblématique.