Mon équipe de fadas - La sélection de Grégory Bernard

Cette semaine, c'est le responsable technique de Bonneveine qui nous offre sa sélection de Fadas sur Gfoot13. Grégory Bernard nous a concocté sont onze de fadas.

Gardien de but

Gregory Bernard : D'après ce que dise mes anciens coéquipiers et entraineurs, je peux faire grandement partie de cette équipe. Je n'en dirais pas plus

Latéraux 

Cédric Comito : C'est le meilleur arrière droit avec qui j'ai joué mais c'était un fatigué du cerveau. Il pétait les plombs contre les arbitres. On pensait que ça s'arrangerait en vieillissant mais non. Sur le terrain son meilleur ennemi c'était l'arbitre.

Ismaël Salah : Il se prenait pour Maldini, il faisait tout pareil. Il regardait tous ses matchs, il voulait lui ressembler jusque dans la coupe de cheveux. Quand il pétait un câble, il se prenait facilement ses trois matchs de suspension.

Défenseurs centraux 

Christian Mellon : capable de tacler de la tête. Ça résume tout ! Très dur sur l'homme, il mettait la tête là où tu ne mets pas le pied.

Mika Napoletano : sa spéciale était le contrôle-tacle. Comme il n'était pas très doué, il contrôlait, le ballon partait à trois métrés et pour le rattraper, il arrachait tout sur son passage, adversaires et coéquipiers.

Milieux

Damien Berruet : mon petit frère de chambré à Martigues. Il a été à bonne école puisqu'il est devenu complètement fada. Il soulevait tout ce qui se présentait devant lui. Il n'avait peur de rien, il déblayait tout sur son passage.

Brahim Sahnoune : Techniquement très au-dessus de la moyenne mais quand les deux fils se touchaient, il était au-dessus de la moyenne dans la folie. Il y avait des expulsions irréelles, des crises de nerf. Un génie incompris

Serge Ouechtati : Igor Prigoune. Très bon pied gauche mais il avait besoin de deux doses de pastis pour jouer. D'une mi-temps où il était transparent, il prenait deux gorgées de 51 et c'était ensuite une fusée sur le terrain.

Attaquants

Titou Hassier : un des meilleurs que je connaissent. La dernière saison que j'ai joué avec lui, il a eu plus de matchs de suspension que de matchs joués.

Benjamin De Santi : il était plus rapide que Drogba, plus beau que Tom Cruise et quand il voulait, il mettait des petits ponts à Cannavaro. Un fou complet.

Stéphane Juan : L'année où j'ai joué avec lui, il avait 40 ans, le temps n'avait pas d'emprise sur lui. A Gignac, il se fait expulsé et il est parti avec la porte du vestiaire.

Staff 

Gérarld Guidarini : Pour mener une équipe comme ça, il faut être passionné et pour être passionné, il faut être un peu fada. Des mecs comme lui dans un club, il en faudrait beaucoup. C'est une petite dédicace pour lui.

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